Une jeune auteure peut-elle arriv­er, avec l’aide de per­son­nages issus de son imag­i­na­tion, à réin­ven­ter sa pro­pre vie? Un acci­dent boule­verse la vie de Majorie, une écrivaine nou­velle­ment céli­bataire et en rup­ture avec sa famille. Ses blessures la ren­dant tem­po­raire­ment invalide, elle se voit con­trainte à une con­va­les­cence de plusieurs semaines. Soudaine­ment, elle dis­pose de temps, que cela lui plaise ou non, pour guérir d’une rela­tion amoureuse tox­ique, sur­mon­ter le deuil de son père et com­mencer à écrire le nou­veau roman que lui réclame son éditrice depuis le suc­cès du précé­dent. Et si tout ça était… inter­re­lié? Jouant à Dieu avec ses per­son­nages, la roman­cière entame une véri­ta­ble quête du bon­heur. Lorsqu’elle se perd et doit revenir sur ses pas, la réal­ité et la fic­tion se croisent et se con­fondent… Native de Jon­quière, Hélène Custeau vit à Lévis. Pas­sion­née de lit­téra­ture et déten­trice d’un doc­tor­at en créa­tion lit­téraire de l’Université Laval, elle a cosigné une série dra­ma­tique pour la télévi­sion, Le cerisi­er et sa nou­velle L’air du temps a été pub­liée dans la revue XYZ. Elle a été final­iste au Prix lit­téraire de Radio-Cana­da avec son réc­it La Cadil­lac rose. Il y a des his­toires qui finis­sent bien est son qua­trième roman.