L’information est un bien public qui ouvre à la critique et à la surveillance indépendante de la responsabilité professionnelle. Faut-il renforcer le contrôle indépendant de la qualité de l’information, sous le principe que l’information est un bien public et qu’elle est maintenant largement financée à même les fonds publics, dans le contexte de la crise économique des médias, de la valorisation des fondements démocratiques ? Comment le niveau de confiance du public envers les médias, toujours en baisse, peut-il se concilier avec les principes de l’intervention gouvernementale ?